Date de sortie :
12 avril 1995
Résumé :
En Asie du Sud-Est, à Shadaloo, le Général autoproclamé M.Bison menace de faire éclater une Guerre Mondiale si on ne lui accorde pas 20 milliards de dollars, en échange de la vie de 63 membres des nations alliées qu'il a pris en otage.
Le colonel William Guile, qui a des différends personnels avec Bison, ne l'entend pas de cette oreille.
Durée :
1H40
Acteur :
Jean Claude Van Damme (colonel William Guile)
Raul Julia (général M.Bison)
Kylie Minogue (Cammy)
Ming Na Wen (Chun Li Zang)
Byron Mann (Ryu Hoshi)
Damian Chapa (Ken Masters)
Wes Studi (Viktor Sagat)
Pays :
Etats-Unis
-----------------------------------
On entend souvent dire qu'il est nul...
Hé bien, moi, je dis que c'est un bon petit film très sympathique :D
Passons sur le scénario, basique, mais allez faire un scénario original à partir d'un background relativement peu développé dans le je adapté.
Quelques trahisons côté personnages, plus ou moins pardonnables (Balrog non affilié à Bison, Honda sumo hawaïen...).
Bref, de mauvais points.
Au-delà de ça, on trouve quoi?Une interprétation sympa et enthousiaste, et l'ultime rôle de Raul Julia, stupéfiant.
Il ne joue pas Bison, il EST Bison, tellement il a su restituer la mégalomanie et la folie du personnage, malgré une carrure loin de le valoir.
Bourré également d'humour et de répliques toutes plus cultes les unes que les autres...
Street Fighter n'est pas la meilleure adaptation de jeu vidéo qu'on ait vue, mais il a le mérite, au moins, de proposer un film divertissant, sans prise de tête, et efficace.
Qu'on soit fan ou pas de Street Fighter, on passe un bon moment de détente, et on lui en demande pas plus.
Les Messagers de la Mort
Au Jeu des Trônes, il faut vaincre ou périr. George R.R Martin -
Le Trône de FerLe bien et le mal ne dépendent pas de ce qu'un homme fait, mais de ce qu'il ressent. Philip K.Dick
Le Mal est relatif, annaliste. On ne peut pas lui mettre d’étiquette. On ne peut ni le toucher, ni le goûter, ni l’entailler avec une épée. Le Mal dépend de quel côté on se trouve, de quel côté on pointe son doigt accusateur. Glen Cook -
La Compagnie Noire