Lonewolf
~ Aventurier ~
Inscrit le : 14/06/2009 Messages postés : 1513 Age : 38 Bonnes réponses aux jeux : 95
| Sujet: Textes et poèmes en tout genre... Dim 20 Sep 2009 - 19:06 | |
| Allez, pourquoi pas? La fic attendra.D'abord, mes textes individuels et mes poèmes. En espérant que ça vous plaise ^^ Voilà, topic refait avec tout XD En espérant que ça réagisse ^^ Destin d’un pilote…- Spoiler:
Un jour comme les autres… Mike sort tranquillement, prend son casque et s’installe au volant de sa voiture, une magnifique Vauxhall VX 220. Une nouvelle course démarre et il compte bien la gagner. En effet, Mike est l’un des meilleurs pilotes de sa génération. 50 courses, 48 podiums, dont 35 premières places. Aujourd’hui, Mike sait qu’il va gagner, encore une fois… Car rien ne peut l’arrêter. Il se sent invincible, en confiance… 20 voitures rangées sur la ligne, 20 pilotes tendus, prêts à partir l’assaut, tels 20 fauves se déplaçant en horde et chassant la même proie. Tous attendent fiévreusement le signal de départ, la permission du chef de commencer la chasse. Ils fixent les feux, le regard vide, attendant le vert, comme ils attendraient le passage de leur proie.
CA Y EST !!!! Le départ est lancé, les fauves mécaniques s’élancent dans les rugissements des moteurs et les crissements des pneus. La foule en délire réclame son champion, Mike, lequel tente de remonter le peloton. Parti 12e, après une médiocre séance de qualifications, il remonte progressivement. Dès le premier virage, il dépasse 2 véhicules. Sa vitesse augmente de plus en plus, il se grise, son pilotage est maîtrisé. Rien ne peut stopper l’envolée de Mike. Il enchaîne les tours avec une maîtrise pure, sa voiture vole sur la piste. La Vauxhall est comme un oiseau dans l’air, bien adhérente au bitume, passant les virages avec la grâce d’une danseuse. Mike maîtrise son véhicule et vole vers la première place.
Les tours s’enchaînent rapidement… Mike arrive au dernier tour, plus qu’un adversaire à dépasser, il maintient le 220 à l’heure. Et là, c’est le drame !!!! Mike perd le contrôle de sa voiture dans le virage qu’il prend bien trop rapidement ! Le mur arrive à grande vitesse, Mike ne peut plus rien faire, le choc à grande vitesse est inévitable. La voiture s’écrase dans un bruit sourd contre le mur, la foule retient son souffle… Comment va Mike ??? La voiture commence à prendre feu…
Et là, tout change… La piste fait place à une bretelle d’autoroute, la voiture de Mike est encastrée dans la rambarde centrale. Mike prend conscience de ce qu’il a fait… Il a maintenu le 220 sur l’autoroute, pris dans son délire. Maintenant, il est piégé dans la carcasse brûlante de sa voiture, espérant que les secours réussiront à le sauver, priant que sa vie soit épargnée…
Mais il est déjà trop tard… La vie de Mike tournait autour de la course, et il a pris sa vie comme une course… Aujourd’hui, il a perdu et la compétition s’arrête là, il est temps de quitter définitivement la piste… Légende...- Spoiler:
La nuit venait de tomber sur la maison.Une nuit sans étoiles, seule la lune brillait dans le ciel de sa lueur blafarde.Une légère pluie tombait, lançant une mélodie cadencée sur le toit de la maison.L'ambiance à l'intérieur était calme...Un bon feu crépitait dans la cheminée, rien ne semblait devoir troubler ce moment de quiétude. Soudain, la pluie commença à redoubler d'intensité.La lente mélodie cadencée devint une salve continue de mitraillette.
"Quelle pluie...Je souhaite bien du courage à ceux qui sont dehors..." Et en effet, il en fallait...Cette averse aurait fait renoncer à l'dée de sortir même les plus braves.Mais l'homme n'était pas encore au bout de ses surprises...Une longue nuit commençait. -Sacré temps...Je ferais bien d'aller me coucher. Il monta alors l'étage de la maison, en direction de sa chambre, après avoir pris le temps de fermer la porte de la maison.Il se coucha alors, dans le calme le plus absolu.
Soudain, au beau milieu de la nuit, il se réveilla en sursaut.L'orage venait d'éclater subitement, dans un fracas tel qu'on aurait cru que la maison venait de s'effondrer.Mais ce n'est pas la seule raison de son réveil... Un cauchemar l'avait plongé dans une angoisse indescriptible.Ce cauchemar possédait une fin qui aurait réveillé et angoissé n'importe qui.L'homme s'est vu étendu sur le sol....Mort.Et au-dessus de son corps, une forme intangible et indescriptible... -Reste calme, c'est juste un cauchemar...Il ne se passe rien, tout va bien, ce ne sont que des racontars...
Des racontars?Oui, en effet, personne n'a jamais donné foi aux histoires qui couraient.Mais après tout...Personne n'en a jamais eu l'occasion non plus...Cette maison aurait une histoire. Il semblerait que ce soit assez troublant.Cette histoire se passait au XIXe siècle.La maison a été bâtie durant cette période.Déjà, à ce moment, les histoires ont commencé. On aurait bâti cette maison sur un ancien cimetière.Mais pas n'importe quel cimetière...Un cimetière de condamnés à mort.On disait que leurs esprits, troublés dans leur éternel sommeil, auraient assassiné les occupants pour retourner au repos.
Oh, bien sûr, personne n'y a jamais cru...Mais ceux qui y vivaient ont bel et bien été retrouvés morts.Morts de peur...Aucune trace de violence, rien qui puisse amener à des suspects...L'affaire fut vite classée.et la maison remise en vente.Mais depuis, chaque lendemain de pleine lune, on retrouve les corps de ceux qui ont vécu dans la maison...Morts de peur, à chaque fois. Et les troubles ne se sont pas arrêtés là..Les chasseurs de fantômes se sont vite emparés de l'histoire.On parle de trésors, dont les fantômes seraient les gardiens, d'où les meurtres des occupants.On a aussi raconté l'histoire d'une jeune fille assassinée qui reviendrait les nuits de pleine lune hanter les souvenirs des occupants de la maison.
Mais quel crédit accorder à ce genre d'histoires?C'est tout juste bon à effrayer les enfants, après tout...Le seul élément troublant sur lequel tout le monde s'accordait, c'est la nature bizarre de ces morts...Tous morts d'une crise cardiaque, morts de peur...mais qu'est-ce qui a pu les effrayer ainsi? L'homme repensa à tout cela et sa peur redoubla.Il se leva et parcourut quelques mètres dans le couloir pour arriver dans la salle de bains.Le couloir baignait dans une timide lumière tamisée.sa démarche se faisait lente et mal assurée, ces histiores restaient dans sa tête.
Enfin, il arriva à la salle de bains.Il s'installa au-dessus de l'évier, la tête entre les mains, et s'aspergea le visage d'eau. -Allez, réveille-toi, ce n'est rien, juste un orage... La foudre choisit ce moment pour tomber avec fracas, faisant sursauter l'homme...Il resta un court moment immobile avant de revenir sur l'évier...Sa main nettoya le miroir au-dessus et là...Il vit une présence derrière lui.Une volte-face rapide, mais il n'y avait plus personne. -Calme-toi, tu as rêvé, c'est tout.Ces histoires te montent à la tête.Il n'y a rien ni personne ici...
Il repartit ensuite de la salle de bains, mais, malgré ses tentatives pour se rassurer, il avait la peur au ventre.Soudain, une voix résonna dans la maison. -Va-t-en, étranger.Tu n'es pas chez toi ici.Va-t-en ou meurs. L'homme regarda fiévreusement autour de lui, mais personne n'était là, il n'y avait même pas le moindre bruit. "Deviendrais-je fou??Il n'y a personne ici...Ce ne sont que des histoires..."
Oui, au fond, ce ne sont que de stupides histoires, des racontars pour effrayer les enfants et les simples d'esprit.Aucun esprit cartésien ne saurait y croire.Et pourtant...Il était confronté à ces évènemetnts étranges... En revenant dans sa chambre, la fenêtre était grande ouverte et la lampe était brisée par terre.Le vent battait dans les rideaux, la pluie fouettait à l'extérieur.Un sifflement bizarre se faisait entendre...Comme si une présence invisible était là, le surveillant.
Soudain, des craquements se firent entendre dans le couloir...Des pas?Le vent qui claque sur les murs?mpossible à dire... "Qu'est-ce que c'est que ça??...." Il décida alors de sortir pour aller voir.Les craquements semblaient s'éloigner...Il les suivit jusqu'à l'entrée du grenier...Et là, il stoppa net.La peur le saisissait au plus profond de ses entrailles... La voix de tout à l'heure se fit de nouveau entendre. -Hé bien, étranger, tu ne manques pas de courage...Tu oses rester ici?A tes risques et périls...Tu vas périr...
Soudain, un bruit se fit entendre de la cuisine.L'homme regarda depuis l'étage et vit sortir un chat noir de la cuisine. "Juste un chat errant...Il a dû entrer quand le vent a ouvert la fenêtre et faire tomber quelque chose.." Belle théorie, mais est-ce vraiment ce qui s'est passé?Qui sait où s'arrête le naturel et où commence le surnaturel?
Là-dessus, il se décida enfin à monter au grenier.Il lui fallait savoir ce qu'il se passait.L'endroit était sombre, dépourvu de toute lumière à part celle filtrant par la fenêtre.L'endroit propice pour raconter des histoires de fantômes. -Bon, ben, il n'y a rien ici..Je redescends. La foudre retomba alors avec fracas et la fenêtre s'ouvrit dans un bruit énorme.L'homme se retourna rapidement, la peur s'emparait de plus en plus de lui. La voix se fit de nouveau entendre... -La fin est proche...Retourne-toi!
Il se retourna et vit une apparition armée d'un couteau.Fantôme d'un criminel?Hallucination de son esprit embrumé?Impossible de savoir...Mais dans tous les cas, l'homme s'écroule sur le sol, foudroyé par une crise cardiaque.Mort de peur...Comme les autres avant lui. De ce qu'il vit avant de mourir ne reste qu'une forme imprécise...Son imagination lui a-t-elle joué des tours?Sous l'influence des histoires, s'est-il laissé emmener dans un délire?Nul ne sait... Mais une chose est sûre...Cette maison est loin d'avoir livré tous ses secrets.Et les morts bizarres vont sans doute continuer de s'enchaîner... Dualité- Spoiler:
Un déplacement furtif.Une sensation dans le dos.Une ombre qui se déplace rapidement.Il la sentait, il la voyait, même, parfois.Et ce, partout où il allait.Pourtant, personne autour de lui ne réussissait à l'entrapercevoir.Etait-il fou?
Aujourd'hui encore, alors qu'il se déplaçait dans les rues, il avait pu sentir sa présence autour de lui, telle un aigle prêt à fondre sur sa proie.Il avait pu la voir dans les vitres, au détour d'une rue, s'arrêtant au-dessus d'un passant.Et lui parlant...Mais il était seul à entendre. -Lui...Il serait très bien, tu ne crois pas?N'as-tu pas envie de faire couler le sang de ce pauvre cloporte insignifiant?
Mais l'homme luttait, résistait, ne voulait pas entendre.Mais il n'avait pas le choix...Alors, il hurlait en fermant les yeux pour ne pas voir son cauchemar. -LAISSE-MOI TRANQUILLE!VA-T-EN! L'ombre disparut alors, mais il savait que ce n'était qu'un vague répit de plus.Tôt ou tard, elle réapparaîtrait et le tourmenterait à nouveau.En ouvrant les yeux, il pouvait voir tous les autres passants tournés vers lui...Dans leur regard, il pouvait lire tout à la fois de la peur, de la moquerie, de l'étonnement...Tout le monde le disait fou.
Et ça, il ne pouvait plus le supporter.Il rentra rapidement chez lui, seul, à l'abri des regards...Mais pas de cette ombre. -Elle ne cessera donc jamais?... Hélas, il semblerait que non.Elle revint déjà à la charge. -Pourquoi refuses-tu de m'écouter?Tu en meurs d'envie.Après tout, je ne suis qu'un reflet... Un reflet.Mais c'était là la clé.En y repensant, il ne pouvait voir cette ombre que dans des surfaces pouvant générer un reflet.Il se leva alors rapidement... Il avait pris la décision de se libérer.
-Tu ne me tourmenteras plus jamais... -Hein?? Après cela, on commença à entendre des bruits de verre brisé dans toute la maison.Il était en train de briser tous les miroirs et vitres qu'elle comportait. -NON!Arrête ça tout de suite.Je vais... -Disparaître?C'est le but.VA-T-EN! La dernière vitre explosa dans un fracas de verre...L'ombre disparut enfin...Et avec elle, l'homme, qui mourut paisiblement. Dialogue- Spoiler:
-Et hop, carré d'as, j'ai gagné. -'Tain, tu fais chier.Je vais finir par croire que t'es plus forte que moi dans tous les domaines. -Hé, j'ai aucun mérite, c'est toi qui m'as formée,après tout. -Ouais, pas faux...Ah, merde, une seconde.Tu m'envoies encore du monde? -Bah ouais, c'est mon boulot, non?Et puis, y en a de plus en plus qui veulent te rejoindre. -Ouais, mais bon, ça te dirait pas de prendre des vacances, de temps en temps? -Tu pourrais faire la même chose, non? -Pas pareil.Bon, je reviens, je vais expédier ça. -Ok, fais donc.Moi, je redonne les cartes.On augmente les mises, hein. -Ok, c'est bon, vous pouvez y aller.Woh ho ho, une minute, toi.Comment ça, on augmente les mises? -Bah ouais, c'est ça, le poker, hein.T'as peur de te faire plumer? -Ce qu'il faut pas entendre...Je vais te mettre la misère, oui, tu vas voir. -Parle pas de misère, j'en croise assez chez ceux que je t'envoie.Tu voudrais pas faire un petit quelque chose pour eux, de temps en temps? -Tu sais bien que je peux pas, je vends que du vent et un peu d'espoir...Et de ton côté? -Bah, je sais faire que détruire, tu le sais très bien. -Mouais...Enfin, bref, mets un frein sur les envois, je sais que y a de la place, mais quand même...2 cartes. -Voilà.Mais j'y peux rien, moi, ils te réclament, ils veulent te voir.Tu pourrais arrêter un peu ta propagande, non?Servie. -Va dire ça à ceux qui s'occupent de ma pub, pas à moi.Je sais ce que j'ai déjà fait et quand je vois le résultat, je me dis que j'aurais dû m'abstenir...Je paie pour voir. -En même temps, si tu t'étais abstenu, je serais pas là.Je sais pas si j'existerais sans toi.Voilà, full aux 6 par les 2. -Mais si, t'inquiète pas, ta fonction est aussi indispensable que la mienne, voyons.Suite.J'ai gagné. -Et merde.Ah, tiens, encore un client.Bon, bah, je vais te le chercher, on reprendra la partie plus tard.A plus, Dieu. -A tout à l'heure, Faucheuse. Prison- Spoiler:
La ville s'étend devant ma fenêtre.Un magnifique horizon où chacun vaque à ses occupations, ignorant ce qu'il se passe là où je vis.Une fourmilière grouillant d'activité, dominée par la véritable tour d'ivoire où je suis enfermé.
Ah, comme je les envie, les ignorants...Eux sont libres, au moins.Libres de se déplacer, de s'amuser...De vivre.Et moi...Je n'ai pour seul horizon que la fenêtre de ma chambre.Enfin, peut-être devrais-je plutôt dire ma cellule.Le monde extérieur?Ici, il se résume à des murs ternes, à une vie bien réglée et minutée.La seule liberté qu'il me reste est celle de penser. Même mourir ne m'est pas accordé, on m'a enlevé tout ce qui pourrait me le permettre, on m'a entravé... On m'a pris toutes mes libertés, et jusqu'à ma dignité, mon humanité.
C'est à peine si je peux m'exprimer, tellement la pression est constante.Je suis prisonnier, enfermé, mon propre corps semble être une prison tellement il se fait lourd.
Et il ne me reste qu'à observer, imaginer, rêver à une éventuelle liberté.Comme j'aimerais m'ôter ce fardeau.Mais je suis seul responsable de ce qu'il m'arrive.C'est ma faute si je suis enfermé ici.
Même si parfois, je me demande encore ce que j'ai fait exactement et pourquoi je l'ai fait...
Si j'avais su que le prix à payer serait si élevé, jamais je me serais porté volontaire pour intégrer ces recherches scientifiques.J'aurais encore préféré une vraie prison.
Nous sommes apparemment en 2541.Le temps passe si lentement pour quelqu'un de ma condition, il est difficile d'être vraiment précis. Et pourtant, sous prétexte de recherches, nous sommes renvoyés au temps de l'esclavage.Les mutations, les maladies se sont développées.Et les recherches ne sont qu'un vague prétexte pour parquer les patients loin de la vue de ceux qu'ils horrifieraient.
Heureux l'homme ignorant qui vit sa vie grâce à nos sacrifices, sans se douter une seconde de ce qu'ils impliquent...La liberté est-elle finalement vraiment un vain mot?Ceux qui sont morts à travers l'Histoire en son nom ont-ils été stupides?Il semblerait.
Heureux l'ignorant qui a la liberté de vivre sainement et en paix.Quand ceux qui le lui permettent n'ont même plus la liberté de mourir.
Quelques poèmes =) - Spoiler:
Ma vie sans toi est un enfer Hélas, plus rien n'est beau Sans toi, je ne peux rien faire Je t'aime beaucoup trop
Je ne veux pas te perdre Tu comptes trop pour moi J'ai déjà trop souffert Je ne veux plus que toi
Tu m'as dit que c'était fini Je ne veux pas y croire Toi, la lumière de ma vie Aujourd'hui, tout est noir
- Spoiler:
La nuit tombe sur les hommes et leurs corps A la vie succède la mort
Mais comment justifier ces morts? O Dieux de la Guerre Regardez vos grandes oeuvres Tant de corps à la fin du jour
Debout dans la boucherie Un homme seul s'accroche à la vie
Hélas, il est déjà trop tard Et peu importe sa volonté Rien ne peut le ramener O passant, receuille-toi Souviens-toi de ces hommes morts au combat
- Spoiler:
Loin devant nous Arrive un homme à genoux
Vivre est un défi Il s'accroche pourtant à cette vie Et pourtant, tout est fini...
La vie lentement quitte son corps Autour de lui, il n'y a que mort
Mourir n'est qu'une étape de la vie Oublie tous tes malheurs Regarde le monde aujourd'hui Tu pars avec bonheur
- Spoiler:
Au nord, les puissants Au sud, les impotents Que vaut la vie Devant le pouvoir d'un pays?
Légions de Satan Au pouvoir écrasant Devant vous, le pauvre plie Car vous décidez de sa vie
Partout dans le monde Vous lancez votre croisade Convaincus de la puissance Que vous donne la richesse
Et pourtant, vous êtes vulnérables Ne vous croyez pas intouchables Votre puissance n'est qu'un leurre Pour insuffler la terreur
Vous dites combattre le mal Tout cela est normal Mais vous utilisez leurs méthodes Faisant de vous des complices immondes
- Spoiler:
Hum, une idée comme ça...
A celle que j'ai tant aimée Ma vie autour de toi a toujours tourné Oublie ces moments forts Un jour, vous devrez voir la vérité Rien n'existe, sinon la mort
Mort, tu m'as si bien accueilli Où est la vraie sérénité? Rien n'est finalement plus beau que la vie Trop tard, mon amour, nous voilà séparés
Tentative de double décalage...Décalage d'une strophe à l'autre, décalage du contenu de la strophe par rapport à l'acrostiche.
Bon, c'était une idée comme ça, quoi...
- Spoiler:
La haine du monde, la haine de lui Ainsi fut la majeure partie de sa vie La solitude l'avait rongé A tel point qu'il l'avait appréciée
Le monde n'était que pourriture D'où avait disparu la droiture Il en avait vu toute la noirceur Et ne voulait plus en voir les lueurs
Une vision du monde faussée Mais de le voir, jamais il n'aurait accepté L'humanité était trop sombre Il fallait qu'il vive dans l'ombre
Mais la solitude détruisait sa vie Plus encore que les viscissitudes de la vie Il décida d'ouvrir les yeux Et de laisser un passé douloureux
L'heure était à la reconstruction Et non plus à la contemplation Il avait tout à réapprendre Mais il ne fuirait plus sans attendre
- Spoiler:
Perfection n'est qu'illusion Rien ne s'inscrit dans la durée Pourtant, on s'accroche à cette illusion Dans le vain espoir de se rassurer
Beauté, richesses, on s'en sert pour dominer Mais que fait-on quand cela disparaît? L'illusion une fois dissipée On revient dans le monde du vrai
Mais personne ne veut se rendre à l'évidence Préférant imaginer avoir les autres entre ses mains On ne veut pas voir que la Faucheuse ne fait pas de différence Après tout, nous ne sommes qu'humains
- Spoiler:
Si la plume est un art Elle est aussi un poignard Un art de la rue Devenu un art reconnu
Bien mieux que l'argent Elle fait trembler les puissants Espionnant la société Racontant sa vérité
Gênante et dérangeante Sans bonne ni mauvaise pente Juste des faits racontés Avec coeur et sincérité
Mais certains voudraient la museler Voire même la contrôler Instaurer une nouvelle ère De contrôle des repères
Mais cela ne peut se faire On ne peut faire taire Un art aussi important Prenant le temps de raconter les gens
Les Messagers de la Mort Au Jeu des Trônes, il faut vaincre ou périr. George R.R Martin - Le Trône de FerLe bien et le mal ne dépendent pas de ce qu'un homme fait, mais de ce qu'il ressent. Philip K.Dick Le Mal est relatif, annaliste. On ne peut pas lui mettre d’étiquette. On ne peut ni le toucher, ni le goûter, ni l’entailler avec une épée. Le Mal dépend de quel côté on se trouve, de quel côté on pointe son doigt accusateur. Glen Cook - La Compagnie Noire |
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