La première saison de ce manga est disponible en français ;)
Tous les soirs, à minuit sonnant, il est possible d'accéder à un site Internet appelé « Le Courrier des Enfers ». Quiconque désire se venger de quelqu'un peut écrire le nom de son ennemi(e) sur ce site et l'envoyer.La Fille des Enfers viendra alors emmener cette personne dans son domaine. Des rumeurs à propos de ce site se propagent parmi les lycéens, comme une légende urbaine. Mais ce que personne ne sait, c'est que la Fille des Enfers demande un prix pour son intervention...Durant chaque histoire, on assiste aux torts faits à une personne, origine de sa rancœur. Lorsque son fardeau devient trop lourd à porter, elle se tourne vers le site Jigoku Tsūshin, une mystérieuse page web entièrement noire sur laquelle tranche le message « Nous vous vengeons, en votre nom. »suivi d'un espace où l'objet de la rancune doit être saisi et d'un bouton « Envoyer » (送信, Sōshin?).
Une fois le nom de leur ennemi(e) saisi et envoyé, les victimes sont visitées par une étrange apparition : Enma Ai, une jeune fille aux longs cheveux noirs et aux yeux rouges portant un sailor fuku sombre (le sailor fuku est l'uniforme marin traditionnel que les jeunes filles japonaises de primaire, collège ou lycée doivent porter pour aller en cours). Elle donne à la victime une poupée faite de paille noire (dans la deuxième saison elle peut également être rouge ou bleue, ou également jaune dès la troisième saison en fonction de la personne qui se transforme) avec un fin ruban rouge noué autour de son cou. Pour être débarrassé de son ennemi(e), il suffit à la victime de dénouer le ruban rouge. Aï Enma emportera alors la personne en enfer. Mais elle exige une compensation : quand la victime mourra, son âme ira également en enfer.
Aï Enma vit dans une sorte de monde parallèle baigné par la lumière d'un éternel coucher de soleil, dans une ancienne maison en bois avec d'un côté une rivière et de l'autre une cour bordée de lycoris rouges (Lycoris Radiata) et donnant sur des champs qui semblent s'étendre à l'infini. Elle vit avec sa grand-mère dont on ne voit que l'ombre et dont les deux principales occupations sont de tourner la roue d'un métier à filer et donner des instructions à Ai. Dans ce monde apparaît aussi une araignée qui possède trois grands yeux ronds sur l'abdomen.
Pour l'aider dans son travail, trois personnes se tiennent à sa disposition : Ichimokuren, un jeune homme vêtu de manière plutôt ordinaire, Hone Onna, une belle femme vêtue d'un kimono traditionnel et Wanyūdō, un homme d'âge mûr portant une écharpe rouge et un chapeau. Lorsqu'Ai est dans son monde, ils sont en général au repos sous forme de trois poupées de paille colorées. Lorsqu'Ai est en mission, ses assistants l'aident en enquêtant sur les cas qui semblent un peu suspects. Une fois le ruban dénoué, ils confrontent les coupables à leurs actes. Ai, vêtue pour l'occasion d'un kimono noir décoré, emmène ensuite les coupables en enfer dans sa barque.
Avis : Très bon manga. Ps : Vous pouvez retrouvez d'autres description de manga sur mon blog www.mangasdu15.skyrock.com
Caline
~ Déesse ~
Inscrit le : 03/10/2008 Messages postés : 98163 Age : 38 Bonnes réponses aux jeux : 15734Classement :
il existe aussi une serie live (acteurs) retraçant l'histoire (pas longue 12 ou 13 episodes seulement) de manier eun peu libre.. les episodes semblent toujours au depart independants les uns des autres au debut des saisons mais finalement on s'aperçoit en milieu de saison que le but et les enjeux de la saison sont differents et qu'on va se retrouver dans une assez grande storyline ayant enma ai en son centre...
Je trouve qu'il y a de l'injustice dans ce dessin animé, par exemple l'histoire de l'infirmière akano qui a été envoyé en enfer par un taré. je peux vous assurer que dans la réalité les bonnes personnes ne vont pas en enfer. c'est pourquoi je trouve ce DA amer et très pessimiste. ce qui pourrais sauver la fille des enfer, c'est le pardon!
zuda
~ Farceuse ~
Inscrit le : 21/07/2012 Messages postés : 6579 Age : 33 Bonnes réponses aux jeux : 3065
même moi qui y suis allé, je peux pas dire, puisqu'au mieux je peux distinguer ce que je trouve bien de ce que je trouve mal, mais pas ce qui l'est réellement