Les 3 films qui ont lancé la vague des polars/action à Hong Kong, qui ont consacré John Woo et Chow Yun Fat en maîtres du genre.
Bon, allez, petite fiche des 3.Et avis ^^
Année de production:1986
Date de sortie:2 août 1986 (Hong Kong)
21 juillet 1993 (Europe)
Durée:1H35
Titre original:Ying hung boon sik
A Better Tomorrow
Réalisateur:John Woo
Casting:Leslie Cheung, Chow Yun Fat, Emily Chu, Ti Lung...
Synopsis:Sung Tse Ho et Mark Gor deux seigneurs de la mafia à Hong Kong, coulent des jours heureux sous les ordres d'un parrain vieillissant. Tout irait pour le mieux si Ho n'avait un frère cadet qui a choisi de faire carrière dans la police.
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Année de production:1987
Date de sortie:17 décembre 1987 (Hong Kong)
Durée:1H35
Titre original:Ying hung boon sik 2
A Better Tomorrow 2
Réalisateur:John Woo
Casting:Chow Yun Fat, Leslie Cheung, Emily Chu, Ti Lung...
Synopsis:On promet au gangster Sung Tse Ho de le sortir de prison s'il accepte d'assister son frère policier, Sung Tse Kit dans une mission périlleuse qui consiste à s'infiltrer au sein d'un gang.
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Année de production:1989
Date de sortie:20 octobre 1989 (Hong Kong)
26 juillet 1999 (Europe)
Durée:2H09
Titre original:Ying hung boon sik 3
A Better Tomorrow 3
Réalisateur:Tsui Hark
Casting:Chow Yun Fat, Anita Mui, Tony Leung Ka Fai...
Synopsis:Entre le Vietnam et Hong-Kong, c'est la guerre. La seule façon de s'en sortir est de devenir un traficant. Mark cheung, jeune habitant hongkongais venu à Saïgon chercher son cousin Mun et son oncle s'en rend compte trop tard, et cherche à s'en sortir en s'unissant à Chow Kit, une trafficante. Malheureusement, tout tourne mal...
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Partie 1:Un bon petit polar qui signe les débuts du style de John Woo, ainsi que ceux de sa collaboration avec Chow Yun Fat.
Casting classe pour l'époque, avec un acteur en pleine ascension qui est désormais la plus grande star du cinéma chinois (Chow Yun Fat), un acteur fétiche de la Shaw Brothers (Ti Lung) et le meilleur chanteur/acteur de Hong Kong (Leslie Cheung).
Scénario assez classique de mafia, trahison et vengeance, mais Woo a réussi à y intégrer une réflexion sur l'amitié, la fraternité et la loyauté, à travers le personnage de Mark et sa relation avec Ho, de même pour la relation entre les 2 frères.
Et, bien sûr, le style John Woo dans les scènes d'action.Ralentis, classe, chorégraphies, 2 armes portées...
Mention spéciale à la scène des pots de fleurs, grandeur et décadence d'un tueur en une seule scène.
Un classique du cinéma de Hong Kong qui a lancé la vague des polars.Tout amateur de cinéma asiatique se doit de le voir ^^
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2e partieMontée en puissance de la part de John Woo, Ti Lung et Chow Yun Fat qui restent irréprochables.Bon sang, la scène de l'hôtel et la scène finale, c'est juste... WAAAAOUUU :shock:
La relation entre les 2 frères qui s'est assagie, mais Ho qui tente toujours autant de veiller sur Kit.Quant à Ken, il est le dépositaire de la mémoire de Mark.Quelle émotion quand il met ses lunettes et son imper :D
La musique toujours aussi évocatrice, mais ce sont bien les gunfights qui font la force de ce 2e épisode.Une suite à la hauteur du 1er, et presque nécessaire.
- Spoiler:
La mort de Kit, vue en rêve par Ho au début du 1er, ayant finalement lieu dans cet épisode.Au moment où sa femme accouche...Il a le temps de lui parler, mais pas plus.Scène d'une grande émotion.
Magnifique, encore une fois ^^
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La partie 3 ^^Alors...La jeunesse de Mark (l'ami de Ho dans le 1er film, qui meurt à la fin) au Viêt Nam.
Changement de réalisateur, suite à une petite brouille entre Tsui Hark et John Woo.Tsui Hark récupère la saga et ça se sent.Il pique les ralentis à John Woo pour les gunfights, mais traite l'amour et l'amitié à sa façon:tragique.
Bon petit film d'action qui lève le voile sur un très bon perso (c'est là qu'il récupère ses lunettes et son imper ;))
Seul bémol, l'absence de Ti Lung (Sun Tse Ho), qui aurait dû être là...Le personnage de Mun ne l'éclipse pas vraiment (et puis, on ne le revoit jamais dans les évènements des 2 premiers films, et Mark ne parle même pas de lui...)
Les Messagers de la Mort
Au Jeu des Trônes, il faut vaincre ou périr. George R.R Martin -
Le Trône de FerLe bien et le mal ne dépendent pas de ce qu'un homme fait, mais de ce qu'il ressent. Philip K.Dick
Le Mal est relatif, annaliste. On ne peut pas lui mettre d’étiquette. On ne peut ni le toucher, ni le goûter, ni l’entailler avec une épée. Le Mal dépend de quel côté on se trouve, de quel côté on pointe son doigt accusateur. Glen Cook -
La Compagnie Noire