Je vais encore me faire sauter dessus, mais c'est pas grave ^^
De Andrew Stanton, 2008
Faites la connaissance de WALL-E (prononcez "Walli") : WALL-E est le dernier être sur Terre et s'avère être un... petit robot ! 700 ans plus tôt, l'humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL-E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul...
Cependant, sa vie s'apprête à être bouleversée avec l'arrivée d'une petite "robote", bien carénée et prénommée EVE. Tombant instantanément et éperdument amoureux d'elle, WALL-E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu'EVE est rappelée dans l'espace pour y terminer sa mission, WALL-E n'hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite... Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie... Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l'univers et vivre la plus fantastique des aventures !
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Magnifique!
Il n'y a rien d'autre à dire.Entre Wall E et Là-Haut, Pixar prouve qu'ils ont atteint un réel stade de maturité dans leur travail.
Pixar a tenté un pari fou dans la première partie du film.Lancer un film avec quasiment AUCUN dialogue.
Pendant les 40 premières minutes, on suit un Wall E solitaire (puis rejoint par EVE, donc), qui s'exprime par quelques "bip" et, surtout, fait passer toutes ses émotions à travers ses grands "yeux" bien mignons.Et ça marche.
On s'attache à ce petit gars solitaire qui remplit consciencieusement mais bien tristement sa mission de compactage de déchets sur une planète désolée, en enchaînant aussi les gaffes ^^
Puis arrive EVE, et une synthèse des rapports homme/femme pleine de vérité et d'humour.
La 2e partie reste très forte, avec une critique acerbe d'une société de consommation qui réduit lentement l'Homme au rang de légume se reposant sur des machines, et transcende également le personnage de Wall E, qui devient un héros malgré lui, poussé par l'amour.
De l'humour, de l'aventure, de la réflexion, le tout dans un écrin beau et poétique (les passages dans l'espace sont juste sublimes de beauté graphique et de grâce, notamment la petite "danse" de Wall E et EVE).
Un chef d'oeuvre, un film qui marque, tout simplement, par sa beauté et son traitement.
Les Messagers de la Mort
Au Jeu des Trônes, il faut vaincre ou périr. George R.R Martin -
Le Trône de FerLe bien et le mal ne dépendent pas de ce qu'un homme fait, mais de ce qu'il ressent. Philip K.Dick
Le Mal est relatif, annaliste. On ne peut pas lui mettre d’étiquette. On ne peut ni le toucher, ni le goûter, ni l’entailler avec une épée. Le Mal dépend de quel côté on se trouve, de quel côté on pointe son doigt accusateur. Glen Cook -
La Compagnie Noire