Non seulement c'est idiot (on est partout dans l'animé au cœur de la culture nippone: fêtes, repas, religion, politesse...) mais en plus, vers la fin, la mère de Benjamin veut l'emmener... à Paris car elle est française à priori.
Anecdote amusante: au début, les repas du père de
Lucile sont traduits par "paupiettes" ou autres termes très français. Ensuite, on parle de boulettes puis de crêpes...
On parle de "champagne" pour la bière, de "liqueur" pour le saké...
C'est l'illustration aussi de la méconnaissance des traducteurs concernant le Japon à l'époque et de la rapidité/légèreté de l'adaptation.
Pourtant, c'est un excellent petit shojo !
Lucile est craquante et Roméo très drôle.
"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait." Mark Twain