zuda
~ Farceuse ~
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| Sujet: Citations et petites histoires du jour Mar 30 Oct 2012 - 19:58 | |
| Rappel du premier message :J'adore les citation et les petite histoire illustrant des idées. Alors j'ouvre ce topic pour que si vous en tombez sur une, vous pourrez la partager ici
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Auteur | Message |
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zuda
~ Farceuse ~
Inscrit le : 21/07/2012 Messages postés : 6579
| Sujet: Re: Citations et petites histoires du jour Ven 28 Juin 2013 - 20:25 | |
| Une petite histoire que j'aime bien qui illustre bien ce que j'appelle le principe de réprocité. Je m'en souviens plus trop donc j'en donne que les grande ligne. - Citation :
- Un jeune homme dort tranquillement à l'ombre d'un manguier. C'est un marchand de casquette qui est fatigué après avoir commencer à traverser une vaste forêt le pays. A son réveil, le pauvre voit que sa marchandise qu'il l'avait laissé près de lui avait disparu. Il apercut alors des singes sur le manguier et ils avait tous une casquette à la main.
Il hurla après les singes, et les singes hurlèrent en retour ; il leur fit des grimaces, et ils lui firent les mêmes, en plus amusantes. Il leur lança une pierre, et ils le lapidèrent avec des mangues non mures. « Je suis ruiné? » cria-t il, et de rage, il retira sa seule casquette, celle qu'il portait sur sa tête et la jeta par terre. Et sa grande surprise, les singes en firent de même. Il se pressa de les récupérer toute et reprit son chemin.
Cinquante ans après, son petit fils traversa la même jungle. Il était lui aussi marchand de casquette. Par pur hasard, il fit sa sieste sous le même manguier. Et comme cinquante ans auparavant, quand le jeune homme se réveilla, toutes ses casquette avait disparu. Il commença à les chercher, et trouva bientôt des singes qui étaient assis dans le manguier, avec des casquettes sur la tête.
Il se souvint alors d’une histoire que son grand père lui racontait. Il pensait que c'était une fable, mais il n'avait plus que cela à essayer. Il fit un signe de la main aux singes. Les singes firent de même. Il éternua, et les singes éternuèrent. Il jeta alors sa casquette, et les singes l'imitèrent, mais ils s'arrêtèrent au dernier moment. L'un d'entre eux descendit, marcha jusqu'à lui et lui fit une tape dans le dos. Il lui dit en riant : « Allons, tu penses être le seul à avoir eu un grand-père ? » |
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ShinichiKudo
~ Divinité ~
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Caline
~ Déesse ~
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zuda
~ Farceuse ~
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Galette de riz
~ Chanteuse ~
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COWBOY PAT
~ Etourdie ~
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ShinichiKudo
~ Divinité ~
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Carine
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ShinichiKudo
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COWBOY PAT
~ Etourdie ~
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| Sujet: Re: Citations et petites histoires du jour Lun 29 Sep 2014 - 7:11 | |
| Nouvelle citation de Chirac lors d'une interview: "Il paraît que vous avez changé depuis votre élection en tant que Président..." CHIRAC: J'ai changé de bière, je suis passé de la Corona à la 1664... |
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Dackeri
~ Sportif ~
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| Sujet: Re: Citations et petites histoires du jour Lun 16 Fév 2015 - 10:49 | |
| C'est un texte que je connais depuis un bon moment et que j'aime beaucoup mais dont certains passages n'ont pris tout leur sens qu'au cours de l'année précédente. Des fans l'ont attribué à Charlie Chaplin mais il aurait en faite été écrit par Kim Mc Millen quelques mois avant de mourir et publié par la suite par sa fille Alison :
Le jour où je me suis aimé pour de vrai
Le jour où je me suis aimé pour de vrai J'ai compris qu'en toutes circonstances J'étais à la bonne place, au bon moment Et alors, j'ai pu me relaxer Aujourd'hui je sais que cela s'appelle... L'estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai J'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n'étaient rien d'autre qu'un signal lorsque je vais à l'encontre de mes convictions Aujourd'hui je sais que cela s'appelle... L'authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai J'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... La maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai J'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... Le respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai J'ai commencé à me libérer de tout ce qui n'était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... L'amour propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai cessé d'avoir peur du temps libre Et j'ai arrêté de faire de grands plans, j'ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime quand cela me plaît et à mon rythme. Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... La simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai cessé de chercher à avoir toujours raison, Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd'hui, j'ai découvert... L'humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai J'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois Cela s'appelle... La plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c'est… Savoir vivre.
Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter Du chaos naissent les étoiles
- Pour ceux qui comprennent l'anglais, cliquez pour voir le texte d'origine :
When I loved myself enough...
When I loved myself enough I quit settling for too little.
When I loved myself enough I came to know my own goodness.
When I loved myself enough I began taking the gift of life seriously and gratefully.
When I loved myself enough I began to know I was in the right place at the right time and I could relax.
When I loved myself enough I felt compelled to slow down way down. And that has made all the difference.
When I loved myself enough I bought a feather bed.
When I loved myself enough I came to love being alone surrounded by silence, awed by its spell, listening to inner space.
When I loved myself enough I came to see I am not special but I am unique.
When I loved myself enough I redefined success and life became simple. Oh, the pleasure of that.
When I loved myself enough I came to know I am worthy of knowing God directly.
When I loved myself enough I began to see I didn't have to chase after life. If I am quiet and hold still, life comes to me.
When I loved myself enough I gave up the belief that life is hard.
When I loved myself enough I came to see emotional pain is a signal I am operating outside truth.
When I loved myself enough I let the tomboy in me swing off the rope in Jackass Canyon. Yes!
When I loved myself enough I learned to meet my own needs and not call it selfish.
When I loved myself enough the parts of me long-ignored, the orphans of my soul, quit vying for attention. That was the beginning of inner peace. Then I began seeing clearly.
When I loved myself enough I began to see that desires of the heart do come, and I grew more patient and calm, except when I forgot.
When I loved myself enough I quit ignoring or tolerating my pain.
When I loved myself enough I started feeling all my feelings, not analysing them really feeling them. When I do, something amazing happens. Try it. You will see.
When I loved myself enough my heart became so tender it could welcome joy and sorrow equally.
When I loved myself enough I started meditating every day. This is a profound act of self-love.
When I loved myself enough I came to feel like a gift to the world and I collected beautiful ribbons and bows. They still hang on my wall to remind me.
When I loved myself enough I learned to ask 'Who in me is feeling this way?' when I feel anxious, angry, restless or sad. If I listen patiently I discover who needs my love.
When I loved myself enough I no longer needed things or people to make me feel safe.
My judgement called it disloyal. Now I see it as self-loving.
When I loved myself enough I gave up perfectionism that killer of joy.
When I loved myself enough I could tell the-truth about my gifts and my limitations.
When I loved myself enough I quit answering the telephone when I don't want to talk.
When I loved myself enough forgiving others became irrelevant.
When I loved myself enough I could remember, during times of confusion, struggle or grief, that these too are part of me and deserve my love.
When I loved myself enough I could allow my heart to burst wide open and take in the pain of the world.
When I loved myself enough I started picking up litter on the street.
When I loved myself enough I could feel God in me and see God in you. That makes us divine! Are you ready for that?
When I loved myself enough I started writing about my life and views because I knew this was my right and my responsibility.
When I loved myself enough I began to see my purpose and gently wean myself from distractions.
When I loved myself enough I saw that what I resisted persisted like a small child tugging my skirt. Now I am curious and gentle when resistance comes tugging.
When I loved myself enough I learned to stop what I am doing, if even for a moment, and comfort the part of me that is scared.
When I loved myself enough I learned to say no when I want to and yes when I want to.
When I loved myself enough I saw beyond right and wrong and became neutral. At first I thought this was indifference; now I see the clarity that comes with neutrality.
When I loved myself enough I began to feed my hunger for solitude and revel in the inexplicable contentment that is its companion.
When I loved myself enough I could see how funny life is, how funny I am and how funny you are.
When I loved myself enough I recognised my courage and fear, my naivety and wisdom, and I make a place for each at my table.
When I loved myself enough I started treating myself to a massage at least once a month.
When I loved myself enough I realised I am never alone.
When I loved myself enough I stopped fearing empty time and quit making plans. Now I do what feels right and am in step with my own rhythms. Delicious!
When I loved myself enough I quit trying to impress my brother.
When I loved myself enough I stopped trying to banish the critical voices from my head. Now I say, Thankyou for your views' and they feel heard. End of discussion.
When I loved myself enough I let the part of me that still misses Kent feel sad instead of trying to stop her from loving him.
When I loved myself enough I began buying a hostess fruit pie for the teenager in me who loves them so. Once in a while, cherry.
When I loved myself enough I quit trying to be a saviour for others.
When I loved myself enough I lost my fear of speaking my truth for I have come to see how good it is.
When I loved myself enough I began pouring my feelings into my journals. These loving companions speak my language. No translation needed.
When I loved myself enough I stopped seeking 'experts' and started living my life.
When I loved myself enough I came to see how my anger teaches about responsibility and my arrogance teaches about humility, so I listen to both carefully.
When I loved myself enough I started eating organically grown food (except for those occasional fruit pies of course).
When I loved myself enough I could be at ease with the comings and goings of judgement and despair.
When I loved myself enough I was able to be treated to a $50 haircut and enjoy every minute of it.
When I loved myself enough I quit having to be right which makes being wrong meaningless.
When I loved myself enough I learned to grieve for the hurts in life when they happen instead of making my heart heavy from lugging them around.
When I loved myself enough I forgave myself for all the times I thought I wasn’t good enough.
When I loved myself enough things got real quite inside. Real nice.
When I loved myself enough I began listening to the wisdom of my body. It speaks so clearly through its fatigue, sensitivities, aversions and hungers.
When I loved myself enough I quit fearing my fear.
When I loved myself enough I quit rehashing the past and worrying about the future – which keeps me in the present where aliveness lives.
When I loved myself enough I realized my mind can torment and deceive me, but in the service of my heart it is a great and noble ally.
When I loved myself enough I began to taste freedom.
When I loved myself enough I found my voice and wrote this little book.
Tout être porte dans son dos l'obscurité et serre dans ses bras la lumière (Lao Tseu)Ce n'est pas en regardant la lumière qu'on devient lumineux, Mais en plongeant dans son obscurité (Carl Gustav Jung) |
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