En ce qui me concerne,avec la sortie prochaine de THE LONE RANGER avec Arnie HAMMER(Ranger)etr Johnny DEPP(TONTO)je suis à bloc dans les musiques et dérivés du VRAI Ranger(j'envisage un topic sur la série originale)...
Ci-joint un clip montage dédié au personnage sur HERO par Bonnie TYLER
Extraits du film THE LONE RANGER de 1956(les sous-titres en espagnol),THE LONE RANGER AND THE LOST CITY OF GOLD(début)1958 et l'épisode A MESSAGE FROM ABE(1956) CLAYTON MOORE:le Ranger JAY SILVERHEELS:Tonto
Inaka
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De rien,les films sont en dvd multizone chez VCR VO seule... J'envisage un topic dessus avec le film de Johnny Depp qui va sortir... La série est jamais passée en France et les films vaguement dans les années 60(sous les titres Le Justicier Solitaire et Le Justicier Masqué)
La lune peignait ses cheveux avec un démêloir d'ébène qui argentait d'une pluie de vers luisants les collines, les prés et les bois. Scarbo, gnome dont les trésors foisonnent, vannait sur mon toit, au cri de la girouette, ducats et florins qui sautaient en cadence, les pièces fausses jonchant la rue. Comme ricana le fou qui vague, chaque nuit, par la cité déserte, un œil à la lune et l'autre - crevé ! « Foin de la lune! grommela-t-il, ramassant les jetons du diable, j'achèterai le pilori pour m'y chauffer au soleil ! » Mais c'était toujours la lune, la lune qui se couchait, - et Scarbo monnayait sourdement dans ma cave ducats et florins à coups de balancier. Tandis que, les deux cornes en avant, un limaçon qu'avait égaré la nuit cherchait sa route sur mes vitraux lumineux.
Scarbo :
Oh! Que de fois je l'ai entendu et vu, Scarbo, lorsqu'à minuit la lune brille dans le ciel comme un écu d'argent sur une bannière d'azur semée d'abeilles d'or ! Que de fois j'ai entendu bourdonner son rire dans l'ombre de mon alcôve, et grincer son ongle sur la soie des courtines de mon lit ? Que de fois j'ai pu l'entendre le plancher, pirouetter sur un pied et rouler par la chambre comme le fuseau tombé de la quenouille d'une sorcière. Le croyais-je alors évanoui? Le nain grandissait entre la lune et moi, comme le clocher d'une cathédrale gothique, un grelot d'or en branle à son bonnet pointu ! Mais bientôt son corps bleuissait, diaphane comme la cire d'une bougie, son visage blêmissait comme la cire d'un lumignon, - et soudain il s'éteignait.
C'est assez étrange la sensation que j'ai eu la premiere fois que j'ai écouté ce morceau. A la fois j'étais purement dégouté, mais en même temps je savais que ce qui avaut devant moi, je le trouverai superbe, et ca bien était le cas. C'est sans doute l'oeuvre que je préfère. Ici ravel nous montre toute la partie technique qu'il est capable de produire,un vrai enchainement de toute les technique de piano moderne. C'est une oeuvre difficile pour piano et j'aimerai bien pouvoir la jouer un jour. Mais au dela de la partie technique, cette oeuvre je la trouve magnifique, vive et poétique. En un mot j'adore, même si je n'ai jamais trouvé pour le moment d'interprétation ou je suis en total accord avec l'interprète.
Spoiler:
dessin en cours :
Elerina
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