- Caline a écrit:
- Vous avez de la chance vous avez pu jouer a pleins de jeu de sociétés
Le gros problème des jeux de société c'est que sa se joue a plusieurs
au contraire du jeu d'échecs, que je ne considère pas comme étant un vrai jeu de société, puisque ça ne se joue qu'à 2
Par contre, les jeux de société, j'ai été baigné très jeune là-dedans.
Mes parents nous achetaient à Noël, quand nous étions enfant, un jeu de société. C'était toujours le jeu de société de l'année. On a eu le Monopoly, le Trivial Pursuit, le Risk, un jeu sur les vins (hélas, y'avait pas encore la bouteille à l'intérieur).
J'ai une armoire complète de jeux de société. Car en plus des jeux que mes parents achetaient, y'a aussi les nôtres que l'on a achetés depuis.
Pour le moment, je n'ai pas l'accès à l'armoire, mais y'avait un jeu qu'on adorait (moi en particulier, pas le reste de la fratrie, car je gagnais souvent), c'était un jeu, il me semble qui s'appelait "richesses du monde".
En fait, cela nous apprenait ce que chaque pays avait comme richesses naturelles chez lui. Le but du jeu était d'acheter une partie de cette resssource et d'obtenir le trust entier.
Par exemple, le "fer" se trouve dans de nombreux pays. Le must était d'avoir toutes les cartes du "fer", ce qui composait le trust entier.
En fait, j'adorais ce jeu-là, car il était éducatif en soi : c'est ce qui me plaisait le plus.
Pour le jeu du Monopoly, je revois un jour ma nièce arriver à la maison et me proposer le jeu du Monopoly sur pc. C'était bien pour elle, car elle pouvait tricher. En fait, elle m'a montré qu'il y avait dans les options carrément la touche "tricher" et avec les tricheries à mettre. Celui qui ne connaissait pas la combine perdait à coup sûr la partie, car ma nièce réglait cela avant de commencer.
Elle et ses tricheries, c'est une longue histoire. Elle ne concevait pas de jouer et de perdre.
Même le jeu en réalité (avec les cartes et les pions), il ne fallait surtout pas lui confier la banque (car les billets de 50 000 euros fondaeint à vue d'oeil dans la banque, mais augmentaient dans sa poche), les cartes de terrain (alors elle, si elle n'avait pas la rue de la Paix, ce n'était meme plus intéressant pour elle de continuer à jouer). Il ne fallait surtout pas s'absenter, car là, c'était la cata pour l'absent d'une minute : elle en profitait pour lui "voler" quelques billets de banque, et tout particulièrement là où il en avait le plus, comme cela, il ne le verrait pas.
En fait, on dit qu'on tient toujours de ses parents, elle en est la preuve irréfutable, car ma soeur était pareille (mais elle, en pire, car le jeu valsait à travers la pièce).
Pour les jeux de cartes : même chose, j'ai été baigné là-dedans. Pas une fête de famille qui ne se terminait pas par un jeu de cartes. Que ce soit la belote, le rami, le 7 américain, le tarot plus tard (qui m'a valu une gifle d'un copain
, mais depuis, il n'a plus été un copain), le bridge, j'ai toujours aimé ça.
Le Rubik's cube : des heures passées dessus, et jamais trouvé la solution. J'ai un ami qui me l'a donné, mais je n'ai pas la patience pour le faire. Mais je possède toujours le jeu.
Par contre, un jeu que j'ai très souvent avec moi quand je voyage en train ou en avion : c'est "la preuve par 15". C'est un jeu électronique. Cela peut se jouer tout seul, mais c'est mieux de le faire avec d'autres personnes, car à l'arrivée, elles sont bluffées.
En fait, on pense à un objet. On répond ensuite à un questionnaire du jeu électronique et si on n'a pas triché dans les réponses, le jeu électronique devine l'objet en question.
En fait, je suis joueur dans l'âme, que je gagne ou que je perde. Ce qui importe pour moi, c'est le jeu (le résultat n'a pas d'importance pour moi). On dit pour cela que je ne suis pas un vrai joueur, car les vrais joueurs n'aiment pas perdre. Mais ce n'est pas une raison de gifler, ce n'est pas une raison d'envoyer le jeu à travers la fenêtre parce qu'on a perdu.
\"Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots\"
Martin Luther King, 1963
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