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J'écoute mes massacres de génériques que j'ai chanté looool

Caline a écrit:

J'écoute mes massacres de génériques que j'ai chanté looool

lol, il sont magnifique tes "massacre de générique", faudrai que je les écoute tous aussi.

Sinon kilpikpik, oui j'ai bien mal, mais j'espère que c'est quelque chose qui pourra se guérir un jour, ca me ferai chier un peu beaucoup au sinon.
J'ai appris le piano par la manière classique, c'est à dire par mimétisme, tu entend et écoute les autre jouer, et tu expérimente, en essayant de voir qu'est ce qui va pas. Sinon le solfège, je connais que très basiquement, en fait je ne connais que ce que j'ai découvert empiriquement, et en parlant avec des cvrai musicien, il m'ont dit les mot qu'il utilisé pour désigner ce que je nommais par mes propres mots.

"lol, il sont magnifique tes "massacre de générique", faudrai que je les écoute tous aussi."

Nooon tes oreilles vont m'en vouloir et me le reprocher a vie ^^

La on se fait un skype vocal avec daeri et on a mis mes massacres looool (meme que le temps il pleut ici, et il fait nuageux en réunion XD)

En ce qui concerne l'apprentissage du piano je pense qu'il est pas forcément nécessaire d'avoir une base de solfège, moi j'aurais tendance à être comme toi apprendre juste à l'oreille et au feeling en écoutant attentivement la musique. Je parle en connaissance de cause car l'apprentissage du solfège m'a toujours gonflé au plus haut point (merci maman!) alors qu'il existe des méthodes parallèles qui donnent d'excellents résultats mais fortement contestées par tous les conservatoires nationaux.

moi je pense que dans tout apprentissage, le pont primordial, c'est de ne pas casser le moteur de l'envie.
Après, pour le solfège, je trouve ca toujours étrange, d'apprendre les concept, sans démonstration, sans exemple d'utilisation. En même temps j'ai jamais suivi un cours de solfège, mais par exemple, y a un ami qui me disais qu'il avais appris une fugue, sans avoir eu un exemple d'une fugue a étudier.

Par contre, si on veut apprendre tout à l'oreille, faut avoir une très bonne oreille (bon peut être qu'on a ne bonne oreiille, si on apprendà l'oreil je sais pas), Parce que comprendre le mécanisme, d'u contrepoint, ou d'une fugue, sans avoir de support visuel, je trouve ca chaud.

Moi justement c'est le solfège qui m'a cassé toute envie... Je fais parti des traumatisés à vie du solfège et de ses méthodes fascistes, et en plus j'avais un professeur qui était con comme ses pieds, si je le revoie un jour je lui ferais bouffer ses partitions...

"One more time, one more chance", la chanson qu'on entend vers la fin de "5 centimètres par seconde"

Un de mes groupes préférés !

"Entre L'ombre et la Lumière" de Marie Carmen repris par Boom Desjardins et Annie Villeneuve :

encore du ravel :

les valse noble et sentimentale :

Spoiler:

c'est une oeuvre que j'adore bien. la valse et les danse sont un sujet assez récurren chez ravel. j'y vois des prémisses de ce que sera sa "Valse". Au début, surtout les premiers accord, je trouvais cela assez dur, avec ces accords dissonnant du départ.
la 7e est celle que je préfère

C'est assez marrant de voir qu'en musique c'est un peu l'inverse qu'en dessin. En dessin, quand tu a un manque dans la capacité d'analyse visuel tu es capable de tout aimer, même les déformation, la non dyssimétrie anormale, les disproportions ect... et souvent quand on regarde les bouses qu'on a fait avant, on se dit comment je n'ai pas pu voir à quelle point c'était nul ce que j'avais fait, et l'oeil se répugne alors des erreur. Et alors tu te met à t'émerveiller sur les détails que tu trouve maintenant incroyablement magnifique des "grand dessinateur".

En musique au contraire pour moi c'est tout l'inverse. La musique me parait dans un premiers tant assez abrupte pour mes oreille qui semble y déceler des "erreurs", mais en écoutant , et en apprenant à composaer, et à creer, ses erreurs finnisse par devenir des son harmonieux, et on arrive maintenant a voir les constructioj dans les oeuvre qui nous parraissait invisible avant, et on comprend la magnificence des grangde composition des "grand compositeur".

Dans les deux cas au final, on arrive à la même chose, à un émerveillement de ce qu'on ressent comme grand, et un état de départ ou tout semble égal. mais d'un coté on à un surplus de bon, et de l'autre on a une difficulté à "l'étranger". Peut être est ce du simplement à ma manière de ressentir les son et les image, ou alors c'est le cas de tout le monde.

La symphonie du nouveau monde d'Antonin Dvorak, Grandiose ! ! ! (Prêt à conquérir le monde ?)

Cristina D'avena "il caffe della Peppina" par Girlps3

Extrait De L'emission Palmares Des Chansons Francis Linel - Adieu Venise Provençale 2001 Télé Mélody

Le chant des macaques dans la zup.